Témoignage vidéo d'Alexandre Duguay et sa mère Mireille
Traumatisme craniocérébral : « Je me donne un peu d'espoir en me disant que je sensibilise peut-être les gens »
Par Inès Lombardo, Journaliste
Dans la foulée de la campagne provinciale de sensibilisation au traumatisme craniocérébral (TCC) qui s'est terminée cette semaine, Alexandre Duguay, 27 ans et habitant de Saint-Ambroise-de-Kildare, a accepté de partager un bout du quotidien qu'il vit depuis le 1er novembre 2015, jours de son accident.
Selon la force d’impact sur le cerveau, on catégorise le TCC en trois degrés de gravité : le TCC léger (aussi nommé commotion cérébrale) ; le TCC modéré : l’impact sur la tête a été assez puissant pour causer des saignements dans le cerveau, visibles au scan cérébral. La personne peut être dans un coma léger pendant quelques heures et rester confuse pendant quelques jours et le TCC sévère.
Pour ce dernier, la force d’impact sur la tête plonge la personne dans un coma plus profond et de plus longue durée. Les saignements au cerveau sont généralement plus graves et peuvent nécessiter une chirurgie. C'est ce qu'a subi Alexandre.
Le jeune homme veut participer à la sensibilisation sur ce trauma. Il vit avec ses parents retraités, sans qui il ne peut rien faire.
L'entrevue est une façon de faire découvrir leur réalité.
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