Caroline Néron : une femme d'affaire qui voit grand
Par Guillaume Valois
Motivée, entreprenante et pleine d'ambition, Caroline Néron ne vise rien de moins que la conquête des marchés internationaux avec ses bijoux.
Avec ses 90 partenaires, ses sept boutiques et kiosques au Québec, l'entreprise Bijoux Caroline Néron est déjà solidement implantée au Québec. Cependant, cela n'est pas suffisant pour la femme d'affaire. En 2013, Mme Néron compte bien se lancer à la conquête du Canada anglais par la suite viendra l'Europe, les États-Unis et le Moyen- Orient. « Quand j'ai parti ma compagnie je me voyais déjà travailler à l'international. Ça prend de grands rêves, des grands buts pour que les étapes plus simple passe plus facilement. »
L'entreprise qui compte maintenait environ 100 employés, à connu des débuts plutôt modestes. Mme Néron nous confie qu'elle a commencé à travailler dans sa cuisine. « Lorsque l'on ouvrait mes armoires, tout ce qu'on retrouvait c'est des bijoux. Je suis parti seul mais j'avais quand même approchée une designer pour finaliser m'a première collection parce que je n'avais pas d'antécédent dans le bijou. » Après trois semaine de travail intense, Mme Néron signe son premier contrat avec les Ailes de la mode où une collection de 30 bijoux était alors disponible dans son kiosque.
De la conception en passant par le marketing et la vente, durant les quatre premières années, Mme Néron travaillait 80 heures par semaines dans son entreprise. Par contre, elle s'est rapidement entourée d'une équipe en qui elle a confiance. « Au fur et à mesure que je faisait un peu de profit, je m'arrangeais pour engager un employé pour me libérer des taches qui était moins naturelle pour moi. Je n'ai pas eu de relation patron-employés, c'était plus des amis. J'ai travaillée avec des gens qui croyaient en mes idées et dans mes projets, ils évoluaient dans ma compagnie. Par exemple, la personne qui est maintenait ma directrice marketing posait des étiquettes au commencement. Je lui disais un jour tu va faire du marketing mais pour le moment il va falloir que tu pose des étiquettes parce que je n'ai pas de budget marketing.»
La bosse des affaires
Mme Néron avoue avoir été grandement inspiré par ses parents dans son choix de se lancer en affaire. « Mes parents étaient tous les deux d'excellents agents d'immeuble, toute ma jeunesse j'ai entendu des conversations sur des négociations et de la vente. Définitivement, je pense que c'est mes parents qui m'ont donné mon sens des affaires. » D'ailleurs, ces parents ont été pour elle d'un support indéfectible tout au long de son cheminement professionnel. « Ils m'ont suivi dans tout et m'ont donnée des conseils judicieux. »
Le côté créatif de Mme Néron à été pour elle un atout incontournable pour l'avancement de son entreprise. « J'ai décidé de me partir une compagnie de ce type là parce que je suis une artiste avant tout et que la mode est une de mes grandes passion. Par ailleurs, Mme Néron estime savoir ce que ces clientes désirent. « En tant qu'acheteuse compulsive je sais ce que les femmes aiment, parce que moi-même, je suis tout le temps dans les magasins à observer les nouvelles tendances. »
Pour partager votre opinion vous devez être connecté.