Des menaces et le harcèlement chassent les femmes de la politique, disent des élues


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Par La Presse Canadienne, 2024
OTTAWA — Plusieurs politiciennes éminentes mettent en garde contre les menaces qui pourraient chasser les femmes de la politique.
Pam Damoff, député libérale de la circonscription fédérale d'Oakville-Nord—Burlington, a dit que sa décision de ne pas se représenter aux prochaines élections était attribuable aux menaces misogynes constantes et à l'harcèlement dont elle est victime.
Autre exemple de ce harcèlement néfaste: l'ancienne ministre fédérale de l'Environnement, Catherine McKenna, avait quitté la scène politique en 2021 à cause des menaces qu'elle recevait sans cesse en ligne et même en personne. Selon elle, les réseaux sociaux devraient être tenus plus imputables pour ne pas protéger plus efficacement ses utilisateurs.
Mme Damoff et la candidate à la succession de Justin Trudeau à la tête des libéraux fédéraux, Karina Gould, disent que le harcèlement s'est empiré depuis la pandémie de COVID-19.
Selon les données prenant en compte tous les ordres de gouvernement, seulement une élue sur trois est une femme.
Autre exemple de ce harcèlement néfaste: l'ancienne ministre fédérale de l'Environnement, Catherine McKenna, avait quitté la scène politique en 2021 à cause des menaces qu'elle recevait sans cesse en ligne et même en personne. Selon elle, les réseaux sociaux devraient être tenus plus imputable pour ne pas protéger plus efficacement ses utilisateurs.
Jesmeen Gill, La Presse Canadienne